Faut que je me lâche un poil : ma famille est dans le bouillon ! Le fargussien marcheur est rentré de son énième long périple ; c’est chouette sauf que comme d’hab il a l’air d’un légume pendant au moins une semaine. Remarquez, ça tombe plutôt bien vu que la cheffe a la tête dans la soupe… (NB : organisation de la première fête de la soupe d’Auffargis avec Béatrict Trosseille).
Moi, ça me met la rate au court-bouillon, la vie d’un attachat de presse n’est pas forcément toujours celle qu’on croit !
Cadeau trouvé sur le web je ne sais plus où par moi-même, Touareg le touilleur : la véritable recette de la rate au court bouillon :
- Prenez un souci. Choisissez le frais et pas trop gros : on ne se met pas la rate au court bouillon pour les gros ennuis, seulement pour les petits. (Les gros ennuis bénéficient d’une autre recette, au mauvais sang, dont nous parlerons dans un autre article).
- Epluchez le souci de tous les côtés.
- Ne pensez qu’à ça, ne parlez que de ça, ramenez tout à ça.
- Réchauffez le bouillon de vos soucis précédents, on en a toujours en réserve.
- Faites bouillir lentement par un bel après-midi, concentrez-vous dessus.
- Plongez-y votre souci frais. Il augmentera ainsi le volume de votre bouillon et gonflera en quelques instants.
- Votre rate au court bouillon est prête, elle gâchera harmonieusement votre soirée.
Conseil : si en plus vous arrêtez tous les petits plaisirs, vous êtes sûr d’apprécier la saveur exceptionnelle de cette recette désastreuse.
Signé Touareg le magnifique, profession attachat de presse de la chronique fargusienne

Ah ! Touareg au pelage plus soyeux que du coton d’Ouzbékistan, cette recette parabolique et philosophique est si profonde et subtile qu’elle mérite étude et méditation ! J’en suis au 4e degré et y’en a encore d’autres en-dessous, j’suis pas près de toucher le fond (du chaudron) !
Miaaaaourg…..
Une fois au fond (du chaudron), on dit « non non non » et on remonte wouaaaaaa. Signé l’attachat